>Traitement contre le charançon rouge du palmier
Le nématode constitue un traitement biologique idéal pour combattre et éradiquer les papillons palmivores et les charançons rouges, ravageurs qui attaquent vos palmiers.
Comment savoir si mon palmier est contaminé ?
La larve du papillon du palmier est un coléoptère qui fait des ravages chez les différentes espèces de palmier notamment sur le pourtour méditerranéen, dans le sud de la France et le littoral de la côte d azur.
Les premiers symptômes d’une infestation sont visibles avec le dessèchement, le dépérissement, un affaissement puis la perte de palmes sur les parties aériennes et les entrées de galeries visibles. Les larves et chenilles rongent l'intérieur et creusent des galeries dans les palmes et stipe (tronc) des palmiers puis passent du stade larvaire en cocon mais il est trop tard pour le végétal. Les cocons mesurent environ 4 à 5 cm. Ce phénomène va détruire le réseau de sève et conduire au pourrissement. Ce type d'insecte ravageur très nuisible est redoutable et entraîne la mort du palmier attaqué en quelques mois. Pour éviter d'avoir à sécuriser et traiter les restes d'un palmier infesté et contaminé, il est préférable d'agir rapidement voire effectuer un traitement préventif des zones potentiellement infestées en effectuant un assainissement des espaces verts. En savoir plus sur le charançon du palmier
Les nématodes : des traitements préventifs ou curatif très efficace.
Il ne s’agit pas d’insecticide mais bien de nématodes qui sont des vers microscopiques qui vont permettre de lutter contre les larves du charançon rouge / contre les chenilles du papillon palmivore. La lutte biologique avec les nématodes peut être préventive ou curative, s’il n'est pas déjà trop tard pour le palmier.
Les nématodes constituent un traitement biologique naturel qui permet de lutter contre le charançon rouge et le papillon palmivore. Inoffensif envers les végétaux, ils permettront de sauver de nombreuses espèces de palmiers et palmiers dattier infestés et éviter abattage pour lequel il faudra respecter la réglementation définie par le ministère de l agriculture (voir arrêté ministériel).